Nous vivons dans une des régions les plus belles, sauvages et préservées d’Europe :
C’est notre chance, c’est aussi notre responsabilité…
















La survie de l’espèce humaine dépend de sa capacité à préserver le vivant autour d’elle. Le CEA agit localement dans ce sens et s’investit pour la protection de notre environnement quand celui-ci est menacé.
Actualités

La déferlante contre la loi Duplomb – votée par le député Panifous (Mme Frogier s’est abstenue), et refusée par le sénateur Michau – se transforme en tsunami :
La pétition dépasse les 2 millions !
Pour signer : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-3014

Cet été on se retrouve aux Résistantes 2025, rencontres de luttes locales et globales, du 7 au 10 août en basse Normandie !

Urbanisation touristique au lac de Montbel
Le CEA défend le fort enjeu environnemental menacé par ce projet.

Panneaux photovoltaïques
Le CEA dénonce le développement effréné des installations photovoltaïques à échelle industrielle dans les champs et sur l’eau.

Le dossier de réintroduction du Castor est actuellement examiné par l’administration et le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel.

Extractivisme
Le CEA participe à la lutte avec :
– Stop Mines Salau (en savoir plus)
– Stop Gravières (le contexte et les luttes)
Depuis 1979 l’association oeuvre en toute indépendance pour la préservation du vivant : analyse, information, propositions alternatives, contestation auprès de toutes les instances, seule ou avec des associations ou collectifs partenaires.
Dossiers
La préservation des espaces et des espèces est une priorité commune pour le présent comme pour l’avenir. Le CEA s’efforce de le rappeler régulièrement aux décideurs.
Une bonne eau au robinet, ça se prépare des années, voire des décennies auparavant. Elle dépend de l’état des eaux sauvages : le CEA réagit face aux pollutions actuelles ou à venir des eaux superficielles ou souterraines.
Les énergies renouvelables : pas n’importe où ni n’importe comment. Bien sûr, mais si nous voulons épargner nos paysages, nos cours d’eau, nos terres agricoles, et diminuer notre impact sur le climat, réduisons notre consommation d’énergie.
Le numérique a dépassé le stade utile pour verser dans le gadget, le consumérisme et la surveillance de masse. Nous nous opposons à ce gaspillage de matériaux et d’énergie qui, de plus, affecte la santé de nombreux citoyens.
L’Ariège, département économiquement pauvre, attire les carriers internationaux et autres miniers pour se servir dans ses ressources naturelles. À la cléf : de gros bénéfices, quelque rares emplois, ainsi que la destruction du vivant, la pollution des eaux et des sols, sans parler de l’impact sur la santé des habitants.
L’avenir que nous soutenons est l’agriculture paysanne respectueuse des animaux et des humains qui produit une nourriture saine et garantit une bonne vie aux agriculteurs.