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dimanche 20 février 2022

Djokovic n’est pas seulement un joueur de tennis, c’est aussi un Homme Debout

En toute hypothèse, Djoko n’est pas le doux dingue nombriliste dont la propagande contre lui nous trace le portrait. C’est au contraire un modèle de bons sens et d’altruisme (il a notamment effectué des dons très généreux pour les victimes du covid en Lombardie) qui en possède autant dans la tête et le cœur que dans les bras et les jambes. Même s’il est évincé de l’Open d’Australie ou s’il le perd, il aura déjà gagné une chose : l’estime de toute la résistance mondiale au totalitarisme vaccinaliste.

Lire la lettre d’Yvan Rasir :

Jouera ou jouera pas ? À l’heure d’écrire ces lignes, il n’est pas encore certain que Novak Djokovic pourra disputer l’Open d’Australie et tenter d’y décrocher son 21ème succès en Grand Chelem. Malgré sa victoire en justice, le champion serbe pourrait être expulsé par les autorités australiennes au prétexte qu’il n’aurait pas observé une quarantaine facultative dans son pays ni déclaré un crochet en Espagne avant son arrivée à Melbourne. L’incertitude règne sur sa participation au tournoi mais ce qui est sûr, c’est qu’il a déjà gagné le match l’opposant aux médias menteurs qui ont cherché à le salir et le faire passer pour un tricheur. Flairant un scandale imaginaire, la presse mainstream titrait il y a une semaine que le tennisman avait bénéficié d’un passe-droit fondé sur une exemption médicale bidon le dispensant de la vaccination. Or ce n’était pas du tout ça !

Coupable d’être… en bonne santé

La vérité, c’est que le numéro un mondial était sur le point de renoncer à se rendre en Australie quand la providence lui a donné un coup de pouce inespéré : il a été testé positif au covid le 16 décembre, ce qui lui ouvrait automatiquement la possibilité d’échapper au vaccin obligatoire. Selon le règlement de la fédération et les règles sanitaires en cours, une infection récente suivie d’un test négatif permet en effet de déroger à l’injection et de prendre part aux compétitions. Novak Djokovic n’a donc nullement magouillé pour obtenir son sésame, il a juste profité de la vague omicron et a, le plus légalement du monde, obtenu la dérogation qu’il n’attendait plus.
Deux commissions médicales ont confirmé sa bonne foi et la validité des documents produits. Fin de partie ? C’était sans compter sur la rigidité des autorités et l’acharnement de la presse qui le soupçonnent à présent d’avoir bénéficié d’un test falsifié. Pour « preuves » de la manœuvre, la meute médiatique avance le comportement du sportif qui est apparu en public et non masqué les 17 et 18 décembre. Mais bon sang, quand les propagandistes covidistes comprendront-ils que la PCR n’est pas un outil diagnostique et qu’un test positif ne veut strictement rien dire sur l’état de santé d’un individu ? Un être humain normal n’a aucune raison de rester dans son lit et de porter le masque s’il ne ressent aucun symptôme. Selon les données de la science, un patient asymptomatique ne représente pas non plus un danger pour les autres du fait que sa « charge virale » est faible, voire indétectable. Reprocher à Djoko d’avoir continué à vivre après le verdict de l’écouvillon, c’est d’une bêtise sans nom. Ça équivaut à le blâmer d’être resté en pleine forme malgré la visite impromptue de l’agent infectieux dans son organisme.

Un héraut du terrain

Il faut cependant reconnaître que les médias de masse à la ramasse ont de la suite dans leurs idées virophobiques. Souvenez-vous qu’en juin 2020, ils avaient cloué le champion au pilori pour avoir organisé un tournoi caritatif où les règles de distanciation sociale - entre les joueurs et avec les supporters - n’avaient pas été respectées. Les mêmes orfraies à plume ou à micro avaient crié au « cluster » lorsque plusieurs participants à l’exhibition avaient ensuite été testés positifs. C’est tout juste si le Serbe n’était pas accusé d’avoir relancé la pandémie et envoyé des victimes innocentes au cimetière.
Le hic, c’est que cette panique d’origine purement médiatique s’est avérée totalement injustifiée et que personne n’est tombé malade après avoir participé ou assisté à cette joute amicale. Mais ça, bien sûr, les journaux et les télés se gardent bien de le souligner. En revanche, les détracteurs de la star tirent parti de la saga australienne pour tenter de faire pâlir son étoile en rappelant qu’il passe parfois pour un illuminé. Sa folie ? Depuis 2010 et un match où il avait failli défaillir, Novak Djokovic a complètement changé sa façon de s’alimenter : il ne consomme plus de céréales à gluten et de produits laitiers.

D’un régime de type paléo dévoilé dans son livre « Service gagnant : une alimentation sans gluten pour une parfaite forme physique et mentale », il a même évolué vers le végétalisme et a ouvert un restaurant végan à Monaco en 2015. Apparemment, il mange cependant toujours du poisson puisqu’il a naguère confié raffoler des sushis. En tout cas, sa nutrition consiste à privilégier les glucides peu transformés (fruits,smoothies, jus de légumes, miel de Manuka…), les bonnes graisses (fruits oléagineux) et les protéines d’origine végétale comme les algues et les légumineuses. Ça suffit pour le faire passer pour un original et il a aggravé son cas puisqu’il s’intéresse aussi à la spiritualité et aux parasciences.
Il a par exemple fait part de son intérêt pour les travaux du naturopathe Masaru Emoto (sur les fameux cristaux sensibles aux émotions) et il s’est rendu en Bosnie pour visiter la présumée « pyramide » de Visoko, lieu mystérieux d’où il a affirmé être sorti « régénéré ». Crédulité ou sensibilité aux énergies subtiles ? Ce qui n’est pas douteux, c’est que le tennisman a fait de la santé globale la colonne vertébrale de son existence. Et que pour lui, l’équilibre du terrain corporel prime sur la méfiance envers les microbes. Il ne se pose pas en connaisseur de la médecine naturelle mais il en est incontestablement un héraut qui s’assume sans se cacher.

Un champion de la cohérence

Le héraut ne fuit pas non plus son destin de héros anticovidiste. Toujours aussi stupidement, la presse lui reproche de ne pas jouer franc jeu et d’entretenir le flou sur son statut vaccinal. Mais qui peut douter que l’athlète a refusé l’injection expérimentale envers laquelle il n’a jamais dissimulé sa réticence ? S’il avait reçu la piqûre, aurait-il accepté de moisir plusieurs jours sous les verrous à l’aéroport de Melbourne et de compromettre ainsi ses chances de victoire par manque d’entraînement ? Fidèle à ses convictions, « Novax » Djokovic pousse simplement la correction et la cohérence qui sont les siennes jusqu’à ne pas se positionner en porte-drapeau des antivax. La vaccination étant (encore) un choix personnel, il ne cherche pas à imposer ses opinions. En refusant de répondre, il manifeste aussi que cette donnée doit rester confidentielle et qu’elle relève du secret médical.
En fait, il adopte exactement la même attitude que le Pr Didier Raoult qui, à chaque fois qu’un journaliste lui pose la question, rétorque sèchement que « ça ne le regarde pas ». Chez le druide marseillais, on peut penser que la discrétion est de principe et qu’il a peut-être reçu le vaccin, lui qui est favorable à celui contre la grippe, même pour les enfants. Mais chez Djoko, il est clair comme de l’eau de roche que le mutisme vaut réponse négative : il ne s’est pas vacciné et ne le fera jamais.

Quitte à devenir un paria et à mener le combat pour la liberté ? Cela relève également de l’évidence. Avez-vous lu la lettre diffusée le 6 janvier par son père Srdjan Djokovic ? Le message pèche par sa grandiloquence mais il annonce clairement que le fils prodige n’entend pas fuir son statut d’emblème de la résistance : « Novak est devenu le symbole et le leader du monde libre, du monde des pays et des peuples pauvres et opprimés. Novak est le Spartacus du monde nouveau qui ne tolère pas l’injustice, le colonialisme et l’hypocrisie. Il se peut que le monde riche ne permette plus à Nole de jouer au tennis, mais il donnera alors le coup d’envoi d’une partie autrement plus sérieuse » . Pour info, Spartacus est ce gladiateur d’origine balkanique qui a mené la révolte des esclaves contre Rome en 73 avant J-C. La référence est très puissante et vaut son pesant d’avertissement : si le délire continue et si les plandémistes fortunés empêchent « Nole » d’exercer son métier, celui-ci relèvera le défi. À bon entendeur, salut !

Un citoyen engagé pour la santé

La perspective de voir un des plus grands sportifs de tous les temps prendre la tête de la rébellion est d’autant moins fantasmatique que l’homme ne répugne pas à s’engager sur des sujets d’écologie et de santé.C’est même cet engagement– et ça les « grands » médias n’en ont pas pipé mot – qui lui vaut peut-être tous ces ennuis en Australie.

Djokovic, le tennis, l’injection et Rio Tinto

Derrière le harcèlement sanitaire, se cache en effet probablement une basse vengeance ourdie suite à l’échec d’un projet d’exploitation minière en Serbie.En lisant cet article ci-contre, vous serez bien informés sur cette sombre affaire. Pour ma part, je vais me contenter de la résumer en reproduisant un paragraphe de l’excellent éditorial « Novak Djokovic : plus qu’une carrière, un destin » du non moins excellent Slobodan Despot dans son hebdomadaire L’Antipresse. « C’est peut-être sans rapport, mais on peut le mentionner à tout hasard. Il se trouve, ô coïncidence, que le chef de cabinet du Premier ministre australien, John Kinkel, est venu de la multinationale minière Rio Tinto, où il était lobbyiste institutionnel. Or il se trouve que ces derniers mois, la mine de lithium que Rio Tinto voulait ouvrir en Serbie a soulevé une opposition colossale. Il se trouve aussi que Novak Djokovic, sans se mêler de politique, a soutenu cette opposition au nom de l’environnement. Il se trouve encore, accessoirement, que cette tête à claque de Morrison (premier ministre australien, NDLR) a déjà été interpellé pour son manque de .. disons… réactivité face aux abus de Rio Tinto ». Rien à voir avec l’arrestation arbitraire de Djokovic à sa descente d’avion, à sa séquestration et aux menaces d’expulsion ? Seuls les grands allergiques aux thèses conspirationnistes s’interdiront de s’interroger. Pour les autres, il y a au minimum matière à investigation. N’oublions pas que le lithium est le minerai indispensable à l’industrie du numérique, à l’internet des corps et à la surveillance sociale facilitée par la technologie 5 G. En toute hypothèse, Djoko n’est pas le doux dingue nombriliste dont la propagande nous trace le portrait. C’est au contraire un modèle de bons sens et d’altruisme – il a notamment effectué des dons très généreux pour les victimes du covid en Lombardie – qui en possède autant dans la tête et le cœur que dans les bras et les jambes. Même s’il est évincé de l’Open d’Australie ou s’il le perd, il aura déjà gagné une chose : l’estime de toute la résistance mondiale au totalitarisme vaccinaliste.

Yves Rasir (Néo Santé)

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